La fermeture annoncée de la centrale au charbon de Cordemais ne plaît pas aux syndicats

30 novembre 2018 à 5h26 par Benoit DE MINIAC

OCEANE

Hier, à l'appel de la CGT, FO et la CFE-CGC, près de 200 personnes se sont rassemblées. L'intersyndicale estime que cette fermeture, annoncée pour 2022, va mettre en péril la sécurité de l'alimentation électrique du Grand Ouest. La CGT estime que, pour compenser, « il faudrait que le nouveau réacteur nucléaire EPR de Flamanville et la centrale au gaz de Landivisiau soient mis en en service d'ici là, or ce ne sera pas le cas". La centrale de Cordemais a été stoppée, hier, et elle devrait le rester au moins pour aujourd'hui encore.