Le collectif « Pour que vivent nos langues » à l’Élysée

19 juin 2020 à 6h05 par Benoit DE MINIAC

OCEANE

Il est monté à Paris pour remettre au président Macron une lettre dans laquelle il s'inquiète de la place dans langues régionales au sein de la République, et notamment de l'Education Nationale.
Des langues comme le breton, la gallo, le catalan ou le basque.
Un courrier signé d'une 100aine de Parlementaires, dont 17 bretons comme Paul Molac, Marc Le Fur, Joël Labbé, Sylvie Robert ou encore Michel Cavenet.